Afin de soutenir ses clients face à la complexification des droits de douanes et du commerce international, Oracle a introduit de nouvelles fonctionnalités ad hoc au sein de sa plateforme Oracle Fusion Cloud Supply Chain & Manufacturing. L’enjeu est d’aider les entreprises à mieux appréhender les perturbations actuelles et leurs impacts, ainsi qu’à en limiter les coûts tout en maintenant l’accent sur l’automatisation des processus. Dans la riche arborescence de son application SCM, ces mises à jour concernent la partie Oracle Global Trade Management, qui permet « de gérer de manière centralisée les processus commerciaux transfrontaliers, d’accroître la visibilité et le contrôle sur les commandes et les expéditions, de réduire l’exposition aux droits de douane et de s’adapter à des réglementations commerciales en constante évolution ». Parmi les nouvelles fonctionnalités en question, l’IA est évidemment mise à contribution, en version Machine Learning pour aider les collaborateurs à choisir la bonne classification douanière des produits, nouveaux ou récemment modifiés, en juste adéquation avec les tarifs et droits. Autre incontournable vu la période, un volet concerne les échanges avec les États-Unis, avec notamment l’enjeu de pouvoir reporter ou réduire les droits de douanes à acquitter, et de maitriser son exposition tarifaire sur les flux d’importation vers les USA. Et deux autres fonctionnalités ciblent les mécanismes de déductions, incitations commerciales et autres ristournes, avec d’une part l’enjeu de mieux mobiliser ces programmes en import comme en export, et d’autre part une dimension reporting pour rapidement réunir les données permettant de déposer des réclamations auprès des autorités douanières. MR

Les nouvelles fonctionnalités de gestion douanière sont introduites sur la partie Global Trade Management de l’application SCM d’Oracle. © Oracle