« Il y aura sans doute des exigences de garanties financières revues à la hausse, par exemple pour accompagner les projets de développement en propre ou en clés en main de certains utilisateurs. Mais du côté des investisseurs stricto sensu, l’immobilier logistique fait plutôt figure de valeur refuge, avec le résidentiel, à la différence de l’immobilier commercial ou tertiaire qui seront potentiellement plus impactés. »
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